Samedi dernier je suis resté sur ma commune, le matin avec J-P, Eko et Garp. On attaque le point bas de la société sous un peu de pluie, mais le sol est bien gelé. Première tenue ou mercredi j'avais levé la troisième, les chiens travaillent bien, pas d'émanation; deux cent mètres plus loin on attaque la montée un chien à droite et l'autre à gauche. Le beeper d'Eko s’enclenche sur la crête à notre gauche, un petit ruisseau au fond de "l'igue" nous sépare et je suis obligé de contourner par le bas pour monter à lui, impossible de passer tout droit. J-P reste sur la "carral" et Garp a rejoint Eko avant moi, ils coupent l'arrêt avant mon arrivée, je les suis afin d'aller à la relève. Malheureusement un grincheux chasseur de gros me rejoint et je comprend que nous gênons, qu'à cela ne tienne on retourne à la voiture pour changer de secteur.
Notre deuxième terrain de jeux:
Nouvel arrêt d'Eko, je descend à travers les buis pour le rejoindre, Garp a rejoint, je coupe les beeps et avant de me placer fla, fla,fla, je ne vois rien :!: Au bout d'une heure Eko la retrouve en bordure de piste montante et Garp qui connait le son du beeper patronne, je souffle mais j'arrive à leur hauteur, la belle décolle et prend la piste en descendant, je ne peux tirer J-P est cinquante mètres plus bas, lui envoie ses deux coups ratée, elle se repose dans la pente. J'y monte avec les chiens et elle redémarre dans les buis rebelote pour J-P qui est sur la piste deux trous. L'heure et mes pauvres jambes nous forcent à rentrer, rendez-vous est pris pour l'après-midi.
Nouveau terrain de de jeu avec mon fils et Ecika en plus:
Premier arrêt d'Ecika avec les deux mâles au patron, dur dur pour les rejoindre, puis le son et pas d'image pour personne :x Les chiens continuent comme des malades malgré la pente, mon fils derrière, les anciens sur le sentier (63 et 70 ans). Pour nous que le son des campanes et du beep à l'arrêt des chiens, quatre successifs, qu'en Christophe nous rejoint, il avoue la pénibilité de cette chasse qu'en on est dans de grosses pentes avec du sale.
On se dirige vers une remise au bord de la rivière, vingt mètres avant Ecika a une connaissance, arrêts et coulés se suivent jusqu'à l'arrêt ferme, les deux mâles arrivent et patronnent, envol dans les buis et au dessus d'eux je lâche mon coup de neuf dans l'espace mais a coté. Je connais la prochaine étape, vu qu'il y a une falaise d'un côté et sur toutes les levées que j'ai sur ce coin, elles n'ont jamais traversaient la rivière et préfèrent monter.
Je récupère mes deux compagnons qui étaient a la traîne et on monte la pente par une coulée de gros gibier, comme prévu arrêt d'Eko bientôt rejoint de Garp et Ecika.
Il connait le coin le bougre, je place le fils d'un coté et J-P de l'autre puis je jette une branche morte sur les buis, Christophe expédie ses deux coups et me dit: j'ai l'impression qu'elle planait dans la pente, je pense plutôt qu'elle se laissée tomber en feuille morte, Eko me donne raison et remonte avec la belle :cheers:
C'est ça première et je pense que je suis plus content que lui.
Le temps de remonter à la voiture, la nuit tombe; j'ai que cette mauvaise image:
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